Traite des êtres humains

Nous sommes aus­si con­fron­tées à d’autres formes de vio­lences, dont celles que su- bis­sent les vic­times de la traite des êtres humains. Lorsqu’elles parvi­en­nent à échap­per à l’emprise de leurs agresseurs, elles se retrou­vent le plus sou­vent à la rue sans docu- ment d’identité, ce qui, pen­dant des années, les exclu­ait de toute aide sociale publique. A Genève, ce sont essen­tielle­ment des femmes. Beau­coup sont venues se réfugi­er au Cœur des Grottes.

Précurseur dans l’accompagnement des vic­times, le Cœur des Grottes a joué un rôle prépondérant dans la sen­si­bil­i­sa­tion à ce phénomène qui, en n, com­mence à retenir l’attention et ce notam­ment grâce aux témoignages relayés par les médias de pen­sion- naires du Foy­er qui, courageuse­ment, ont osé témoign­er de leur vécu.

Trop lente­ment à notre avis, mais sûre­ment, les pro­grammes de lutte con­tre la traite et d’aide aux vic­times s’organisent à tous les niveaux et la Fon­da­tion y joue un rôle très act­if de par l’expertise acquise et partagée avec pas­sion par Mme Anne Marie von Arx-Ver­non, direc­trice adjointe, au cours d’interviews, de tables ron­des, de col­lo­ques, sémi­naires ou conférences.

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