For further information, pour plus d'information : Michel Veuthey
|
|
Slavery needs to be stopped
|
|
Today, trafficking in persons rivals arms and drug trafficking as one of the most lucrative criminal enterprises in the world.
In 2013, the UN member states adopted a resolution which designated July 30 as the World Day against Trafficking in Persons. They declared that such a day was necessary to “raise awareness of the situation of victims of human trafficking and for the promotion and protection of their rights.”
The Global Plan of Action to Combat Trafficking in Persons was adopted in 2010 and urges governments worldwide to take coordinated and consistent measures to defeat human trafficking in all its forms. The UN plan calls for integrating the fight against human trafficking into the UN’s broader programs to boost development and strengthen security worldwide.
Many Children Are Trafficked
Almost a third of all human trafficking victims worldwide are children, according to the Global Report on Trafficking in Persons released in December 2016 by the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC). Women and girls comprise 71% of human trafficking victims, the same report states.
According to the International Labour Organization (ILO), around 21 million people are victims of forced labor globally, and of these, a significant number are also trafficking victims.
The UN plan calls for integrating the fight against human trafficking into the UN’s broader programs to boost development and strengthen security worldwide.
Serious Threat to Human Dignity
The UN resolution also states that trafficking in persons, especially women and children, constitutes an offense and a serious threat to human dignity and physical integrity, human rights, and development. Despite sustained measures taken at the international, regional, and national levels, trafficking in persons remains one of the grave challenges facing the international community, which also impairs the enjoyment of human rights and needs a more concerted international response.
According to the 2016 UN report, women and girls tend to be trafficked for marriages and sexual slavery, while men and boys are typically exploited for forced labor in the mining sector, as porters, and as soldiers. It also states that refugees from war and persecution are particularly vulnerable to becoming victims of human trafficking.
Combating trafficking in human beings is one of the most pressing challenges facing the international community today. The victims of this insidious crime each year number in the hundreds of thousands, possibly millions. They are often the poorest and most defenseless members of the human family. Today, trafficking in persons rivals arms and drug trafficking as one of the most lucrative criminal enterprises in the world.
This is the time for the international community - Governments, religious leaders, international organisations, civil society, business and opinion-formers - to mobilise for the further abolition of slavery.
Poverty, economic and political instability, conflict, the demographic explosion of some countries, climate change, refugee and migrant movements, ethnic and religious persecution make millions of women, children and men vulnerable to criminal networks that, by coercion or false promises, reduce them to servitude even in our countries.
A comprehensive effort, at the national, regional and international levels, is needed to address this massive global denial of fundamental human rights.
Slavery is developing at levels unknown in previous centuries:
- In 2010, there were an estimated 27 million modern slaves in the world (twice as many as African slaves forced to migrate to the Americas).
- In 2018, the latest estimates are over 45 million.
- The profits of modern slavery exceed $150 billion.
- In 2018, in Europe and Central Asia,[1]according to the Global Slavery Index[2], the total number of victims of slavery was 3.6 million (1.3 million for the European Union).
- 58% of the victims are in 5 countries: India, China, Pakistan, Bangladesh and Uzbekistan. Women and girls represent 71%. One in four victims is a child. Forced labour and sexual exploitation are the most widespread forms in Europe.
Slavery is often invisible. This contributes to an inadequate awareness of the authorities and aid structures, public or private.
-
[1]51 countries: Turkmenistan, Belarus, the former Yugoslav Republic of Macedonia, Greece, Albania, Turkey, Ukraine, Croatia, Montenegro, Lithuania, Russian Federation, Republic of Moldova, Armenia, Uzbekistan, Tajikistan, Bulgaria, Azerbaijan, Georgia, Romania, Cyprus, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Kosovo, Latvia, Israel, Hungary, Estonia, Bosnia and Herzegovina, Poland, Serbia, Slovakia, Czech Republic, Portugal, Italy, Spain, Slovenia, Iceland, United Kingdom, Germany, Belgium, France, Norway, Netherlands, Austria, Switzerland, Ireland, Finland, Denmark, Sweden, Luxembourg.
|
|
Il faut mettre fin à l'esclavage
|
|
Aujourd'hui, la traite des personnes rivalise avec le trafic d'armes et de drogue comme l'une des entreprises criminelles les plus lucratives au monde.
Le 30 juillet 2010, les États membres de l'ONU ont adopté une résolution proclamant le 30 juillet Journée mondiale contre la traite des personnes. Ils ont déclaré qu'une telle journée était nécessaire pour " sensibiliser à la situation des victimes de la traite des êtres humains et pour promouvoir et protéger leurs droits ".
Le Plan d'action mondial contre la traite des personnes a été adopté en 2010 et exhorte les gouvernements du monde entier à prendre des mesures coordonnées et cohérentes pour lutter contre la traite des personnes sous toutes ses formes. Le plan de l'ONU prévoit d'intégrer la lutte contre la traite des êtres humains dans les programmes plus larges de l'ONU pour stimuler le développement et renforcer la sécurité dans le monde entier.
Beaucoup d'enfants sont victimes de la traite
Selon le Rapport mondial sur la traite des personnes publié en décembre 2016 par l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC), près d'un tiers des victimes de la traite dans le monde sont des enfants. Les femmes et les filles représentent 71 % des victimes de la traite des êtres humains, selon le même rapport.
Selon l'Organisation internationale du travail (OIT), environ 21 millions de personnes sont victimes du travail forcé dans le monde, dont un nombre important sont également victimes de la traite.
Le plan de l'ONU prévoit d'intégrer la lutte contre la traite des êtres humains dans les programmes plus larges de l'ONU pour stimuler le développement et renforcer la sécurité dans le monde entier.
Une grave menace pour la dignité humaine
La résolution de l'ONU affirme également que la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants, constitue une infraction et une menace grave pour la dignité humaine et l'intégrité physique, les droits de la personne et le développement. Malgré les mesures soutenues prises aux niveaux international, régional et national, la traite des personnes demeure l'un des graves problèmes auxquels la communauté internationale est confrontée, qui entrave également l'exercice des droits de l'homme et nécessite une action internationale plus concertée.
Selon le rapport des Nations Unies de 2016, les femmes et les filles ont tendance à être victimes de la traite à des fins de mariage et d'esclavage sexuel, tandis que les hommes et les garçons sont généralement exploités pour le travail forcé dans le secteur minier, comme porteurs et comme soldats. Il stipule également que les réfugiés de guerre et de persécution sont particulièrement vulnérables à devenir victimes de la traite des personnes.
La lutte contre la traite des êtres humains est l'un des défis les plus urgents auxquels la communauté internationale est aujourd'hui confrontée. Les victimes de ce crime insidieux se comptent chaque année par centaines de milliers, voire par millions. Ils sont souvent les membres les plus pauvres et les plus sans défense de la famille humaine.
C'est le moment pour la communauté internationale - gouvernements, chefs religieux, organisations internationales, société civile, entreprises et leaders d'opinion - de se mobiliser en faveur d'une abolition plus poussée de l'esclavage.
La pauvreté, l'instabilité économique et politique, les conflits, l'explosion démographique de certains pays, le changement climatique, les mouvements de réfugiés et de migrants, les persécutions ethniques et religieuses rendent des millions de femmes, d'enfants et d'hommes vulnérables aux réseaux criminels qui, par la contrainte ou de fausses promesses, les réduisent en servitude même dans nos pays.
Un effort global, aux niveaux national, régional et international, est nécessaire pour remédier à ce déni massif des droits fondamentaux de l'homme dans le monde.
L’esclavage se développe à des niveaux inconnus aux siècles précédents :
- En 2010, on estimait à 27 millions le nombre d’esclaves modernes dans le monde (le double des esclaves africains forcés à émigrer aux Amériques).
- En 2018, les dernières estimations sont de plus de 45 millions.
- Les profits de l’esclavage moderne dépassent les 150 milliards de dollars.
- En 2018, en Europe et Asie centrale selon ”The Global Slavery Index”, le total des victimes de l’esclavage est de 3,6 millions (1,3 million pour l’Union Européenne).
- 58% des victimes sont dans 5 pays[1]: Inde, Chine, Pakistan, Bangladesh et Ouzbékistan. Femmes et filles représentent 71%. Une victime sur quatre en est un enfant. Le travail forcé et l’exploitation sexuelle en sont les formes les plus répandues en Europe.[2]
L’esclavage est souvent invisible. Ce qui contribue à une inadéquation de la prise de conscience des autorités et des structures d’aides, publiques ou privées.
Un effort d’ensemble, sur le plan national, régional et international, est nécessaire pour faire face à cette négation massive mondiale des droits fondamentaux de la personne humaine.
[1]51 pays dont la liste est la suivante: Turkmenistan, Belarus, the former Yugoslav Republic of Macedonia, Greece, Albania, Turkey, Ukraine, Croatia, Montenegro, Lithuania, Russian Federation, Republic of Moldova, Armenia, Uzbekistan, Tajikistan, Bulgaria, Azerbaijan, Georgia, Romania, Cyprus, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Kosovo, Latvia, Israel, Hungary, Estonia, Bosnia and Herzegovina, Poland, Serbia, Slovakia, Czech Republic, Portugal, Italy, Spain, Slovenia, Iceland, United Kingdom, Germany, Belgium, France, Norway, Netherlands, Austria, Switzerland, Ireland, Finland, Denmark, Sweden, Luxembourg.
[2]www.globalslaveryindex.org/findings/
|
|
The Sovereign Military Hospitaller Order of St. John of Jerusalem, of Rhodes and of Malta, founded in Jerusalem around the year 1048, is a primary subject of international law and a Catholic religious and lay order.The Order’s mission is to bear witness to the faith and assist the poor and sick. Today the Order of Malta is mainly active in health and social care and humanitarian aid, operating in over 120 countries. Its 13,500 members are supported by 80,000 volunteers, with another 42,000 doctors, nurses and paramedics. The Order manages hospitals, healthcare clinics, out-patient units, institutes for the elderly and disabled, terminal patient centres and volunteer corps. Malteser International, the Order of Malta’s special relief agency, is alwaysin the front line in natural disasters and to alleviate the consequences of armed conflicts. The Order is currently engaged in the countries bordering Syria and Iraq to provide aid for the population fleeing from the violence.Alongside the Italian units, the Order of Malta’s Italian Rescue Corps participates in first-aid operations for the boats loaded with migrants in the Strait of Sicily. The Order of Malta is neutral, impartial and apolitical. It has bilateral diplomatic relations with 107 States, official relations with another 6 States, and relations at ambassadorial level with the European Union. It is a Permanent Observer to the United Nations and its specialised agencies and has representatives to the main international organizations. Since 1834, the seat of theOrder of Malta’s government has been in Rome, where it is guaranteed extraterritoriality rights.
|
L'Ordre Souverain Militaire Hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, fondé à Jérusalem vers 1048, est un sujet de droit international et un ordre religieux et laïc catholique. La mission de l'Ordre est de témoigner de la foi et d'aider les pauvres et les malades. Aujourd'hui, l'Ordre de Malte est principalement actif dans le domaine de la santé, des soins sociaux et de l'aide humanitaire, opérant dans plus de 120 pays. Ses 13 500 membres sont soutenus par 80 000 bénévoles, auxquels s'ajoutent 42 000 médecins, infirmières et paramédicaux. L'Ordre gère des hôpitaux, des cliniques de soins de santé, des unités de soins ambulatoires, des instituts pour personnes âgées et handicapées, des centres de patients en phase terminale et des corps de volontaires. Malteser International, l'agence spéciale de secours de l'Ordre de Malte, est toujours en première ligne en cas de catastrophes naturelles et pour atténuer les conséquences des conflits armés. L'Ordre est actuellement engagé dans les pays limitrophes de la Syrie et de l'Irak pour venir en aide à la population fuyant la violence. Aux côtés des unités italiennes, le Corps de sauvetage italien de l'Ordre de Malte participe aux opérations de premiers secours pour les bateaux chargés de migrants dans le détroit de Sicile. L'Ordre de Malte est neutre, impartial et apolitique. Il entretient des relations diplomatiques bilatérales avec 107 États, des relations officielles avec six autres États et des relations au niveau des ambassadeurs avec l'Union européenne. Il est Observateur permanent auprès des Nations Unies et de ses agences spécialisées et a des représentants auprès des principales organisations internationales. Depuis 1834, le siège du gouvernement de l'Ordre de Malte se trouve à Rome, où il bénéficie de droits extraterritoriaux.
|
|
|
|
|